mardi 21 mars 2017

Terrible rencontre ( Part IV )



Bonjour chers lecteurs et lectrices…


Il n’y a rien qui émeut plus l’homme que : la mort. A la seule idée d’y penser beaucoup sont pris d’une grande peur.
Par ma toute petite expérience d’homme. J’en suis arrivé à une conclusion : « Entretenir tant bien que mal les relations que j’ai  avec ceux qui m’entourent ».
Aujourd’hui tu peux insulter “X“ et demain apprendre que “X“ a eu un accident et qu’il ne s’en est pas sorti. Et là du regret, du remord  voilà les seules sentiments qui nous animent en de pareilles situations et même qu’on a de la peine à assister aux obsèques.
Pourquoi  être dur de cœur ? Où allons-nous avec  tant d’égo et de fierté ?
Moi  je ne peux pas faire ci ? Moi je suis si…Est-ce qu’il me connait ? Est-ce qu’il sait qui je suis ?
Tout ceci n’est  Vrai, important que de l’entendement des hommes que nous sommes mais si nous voulons dépasser un temps soit peu tout cela nous réalisons que tout n’est que vanité.
Un conseil prenons soin de nos relations humaines, il n’y a rien de plus important que ça sur cette terre et si ça ne va pas essayons d’en discuter, la communication règle beaucoup de choses.


Recevez la suite

Gilles : Sœur, voici ton frère, voici ce que je suis.

*Il était à l’image de l’ancien prestataire, il n’y avait aucune différence dans la description de la tête jusqu’au pied, ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. La seule chose qui changeait le décor était qu’il avait dans ses cheveux le chapelet de Karolina.

Gilles : (En montrant le chapelet dans ses cheveux) Voici tout  ce que j’ai comme souvenir de ma…Mère, ce truc insignifiant .Elle n’a pas daigné me laisser une photo d’elle à la place

*Julia était toute retournée de ce qu’elle voyait. Son frère qu’elle n’avait jamais vu. Il n’y avait aucune ressemblance entre elle et lui.

Julia : C’est mère qui t’as laissé ce chapelet avant de te donner à l’ancien prestataire. Elle m’a dit qu’elle en a beaucoup souffert. Je pense elle en a toujours souffert.
Gilles : Trêve de bavardage…

*Il faut noter que depuis qu’il s’est montré sous son véritable aspect, sa voix aussi avait changé.

Julia : Que vas-tu faire maintenant ?

Gilles : HA ! HA ! HA ! Dans quelques minutes tu ne pourras plus dire un mot encore moins bouger ne serait-ce un seul  pouce. A ce moment, je vais reprendre ce corps que voici (en montrant le corps qu’il avait laissé dans le canapé) pour commettre l’irréparable (Liaison incestueuse). Je protégerai l’enfant d’un sceau, ce qui ne permettra à personne de déceler la grossesse encore moins de s’en débarrasser. Tu en souffriras jusqu’à en devenir folle. Le jour où tu lui donneras la vie…

Tu perdras la tienne  très chère sœur.

*Quand Gilles parlait, le corps qui lui servait d’habit était comme pétrit dans le canapé, sans vie. En fait le corps était à l’image de ces déguisements qu’on porte la nuit Halloween

Julia : Où vas t’amener tout ceci ?
Julien : Je veux juste mieux me sentir, me débarrasser de toute cette haine. Ainsi je pourrai retourner continuer ma mission en attendant que  notre enfant vienne au monde pour me remplacer.
Il sera fort, très fort, plus fort que tous les prestataires que le village a connus jusqu'à maintenant (il parlait avec un tel enthousiasme). Je mettrai tout ce que j’ai de bien en lui. A ces mots, il sortit une boîte de son pagne.
Gilles : Dans cette boîte se trouve tout ce que j’ai de bien en moi, je m’en suis débarrassé il y a bien longtemps et je vais l’offrir à notre enfant

*Joignant le geste à la parole, il ouvrit la boîte, s’approcha de Julia et l’ouvrit sur son ventre (Une lueur blanche en sortit et rentra dans le ventre de Julia)


**Julia ne put résister, elle sentit ses dernières forces la quitter à l’entrée de cette lueur dans son ventre
Avant de fermer les yeux, elle put dire ces quelques mots, les larmes coulant le long de son visage : «  Elle est bien bizarre la vie, dire que c’est mon frère qui est à l’origine de toutes mes souffrances et pour quelle raison… »


Julien : Tu cherches encore la raison ? C’est à cause de ta mère…

*Et Julia ferma les yeux







Un peu plus loin à Kpalimé


*Depuis le départ de Julia, Crédo n’avait  cessé de l’appeler. Ne pouvant plus tenir face à cela, il décida de rentrer à Lomé.

Il gara sa voiture à l’entrée de la demeure de Julia.

**Vous me direz que la nature fait bien les choses n’est-ce pas ?


*Crédo frappant en vain à la porte de Julia, décida de la défoncer. A son entrée, il trouva que quelque chose n’allait pas. Criant en vain le nom de Julia, il se dirigea vers la chambre à coucher de cette dernière. Là, il  la trouva inerte presque sans vie.
Sur elle, se trouvait Gilles non plus en mode prestataire mais en mode Julien car il avait repris son habit corporel.

**Crédo n’hésita pas un instant et sauta sur lui, le mis à terre et le gratifia de violents coups de poings.


*Il faut noter que Quand Gilles étant dans son habit corporel, il perdait tous ses pouvoirs.

**la bastonnade de Crédo ne dura pas longtemps, au moment où dans son excès de colère, il voulut l’étrangler (Vous savez quand les blancs sont fâchés tout ce qu’ils peuvent faire) que Julien sortit de son habit corporel


*Crédo put constater cela car il n’avait plus dans ses mains qu’un corps sans vie, ni organe, un peu comme un habit qu’il avait dans ses mains. Il n’eut pas le temps de digérer ce qui venait de se passer qu’il entendit une voix derrière lui : «  Amégan Ewoe Va LE Gblin EnouME  Na MA ?»

**Crédo n’eut pas le temps de se retourner qu’il fut projeté par on ne sait quelle force  en dehors de la chambre. Il ne put entendre qu’un grand “Gbo“ marquant la fermeture de la porte derrière lui



*Crédo, depuis le sol où il fut projeté n’en revenait pas. Tout se passa aussi vite qu’il se pinça des dizaines de fois pour être sur qu’il n’était pas entrain de rêver. Notre Yovo avait du mal à croire ce qu’il venait de vivre. Pris d’une peur terrible, il voulut quitter les lieux à toute jambe mais son amour pour Julia le retint, il revit l’état dans lequel était Julia…Puis s’en suivit une série de réflexion interne

**Dans la tête de Crédo


D’une part c’est de ma faute si elle est dans cette situation. C’est moi qui l’ai  convaincu  de revenir au Togo après les obsèques de sa mère.

Soit, mais est- ce moi qui lui ai dit de quitter Kpalimé sans moi ? Pourquoi devrais-je risquer ma vie pour elle ? Pourquoi devrais-je rentrer dans une lutte sans merci avec ce magicien ?

Oh le connard, il veut profiter de Julia, je dois faire quelque chose…Mais quoi ? 

Et puis Julia elle m’aime pas, elle ne fait que me rabaisser, mal me parler, tout ce que je fais n’est jamais bien pour elle  et comble de tout ça parce que je suis blanc  elle ne veut pas se mettre avec moi

Elle me dit tout le temps que je la dérange, de la laisser seule et bien je la laisse seule avec ce type…Mais non, il va lui faire du mal le fils de p**

Oh ! Non je ne veux pas risquer ma vie pour si peu

Eh ! Ressaisis-toi Crédo, Julia c’est une superbe fille, qui de surcroît a confiance en toi. Si tu ne lui portes pas secours, qui le ferait ? Tant pis si elle ne te juge pas à ta juste valeur, tant pis si elle ne veut pas passer le reste de sa vie avec toi. Le plus important c’est que toi tu l’aimes alors bats-toi pour celle que tu aimes, va sauver ta bien aimée de ce machin magicien…

Pourras-tu vivre sans Julia ? Rappelles-toi de ces bons moments passés ensemble…Si tu n’essaies rien, tu le regretteras pour toute ta vie.

Mon vieux, zappe sur tout ça, tu es beau, riche et plein d’avenir ne gâche pas ta vie dans ces histoires à l’africaine. Tu ne vas pas mourir pour le joli cul d’une négresse ? Bon Oui, elle n’a pas un si gros cul mais bon tu vois là où je veux en venir…Des filles tu pourras en trouver des milliers si tu franchis cette porte et que tu quittes ces lieux. Il y en a plein qui t’attendent.



**De cette réflexion Crédo prit la direction de la sortie…



Que va-t-il donc arriver à Julia qui se retrouve sans aide ?

Vous le saurez dans le prochain épisode de Terrible rencontre. D’ici là portez-vous bien. A mardi


                                                            A suivre


mardi 14 mars 2017

Terrible rencontre ( Part III )

Bonjour chers lecteurs et lectrices. L’attente a bien été longue pour certains et très courte pour d’autres. Je tiens ici à faire coucou à mes nouveaux lecteurs via Whatsapp (Félicité, Josué, Nadège, Alice, Immaculée, Joseph, Angèle…)

On me pose souvent la question : «mais où trouves-tu l’inspiration ? Est-ce une histoire vécue ? »

 Entre nous c’est un truc qui me vient comme ça et c’est avec joie que je le partage avec vous.


Bien avant de vous donner la suite, je voudrais nous exhorter à Vivre Notre Vie Et Non à La Subir…
Rêvons et Réalisons nos Rêves…
C’est possible car  nous sommes tous dotés de ce qui permet de rendre l’Impossible Possible…
N’est-il pas écrit : « ‘’Il’’ nous a fait à son image » ?
Croyons donc en nous, en nos potentialités et le miracle s’opérera.
Amen

Recevez la suite

*Julia se réveilla  quelques minutes plus tard dans la douche, elle s’était assoupie sans le savoir dans la baignoire…

De se réveil, elle ne savait plus où se donner de la tête, tout lui paraissait comme un rêve mais c’était si réel.


**Julia se doucha vite fait, remit ses idées en place et revint au salon
Entre nous que pouvait-elle faire d'autre?


-Julien : Te voilà enfin
-Julia : Vous dites ? (L’air surpris du ton avec lequel il venait de lui parler)
-Julien : On mange quoi ?
-Julia : Eum…


*Sans vraiment lui répondre, elle se dirigea vers la cuisine et entreprit la préparation de spaghetti (les petites formules façon brindille pas ceux qu’on nous sert habituellement dans les cafétérias « Chez DIALLO » de Lomé) fait à blanc avec de l’oignon, beaucoup de poivron et du poisson que Julia avait soigneusement effilé, ce qui faisait pensé à de la sardine.


* Autour de la table le plat ne fit pas très bien accueilli par Julien


-Julia : Quelle est votre religion ?
-Julien : Moi ! Je n’ai pas de religion, je crois en mère nature (répondit il avec un certain désintérêt à la question)
-Julia : Okay ! Cela ne vous dérange pas une prière j’espère
-Julien : Non ! Allez-y


*Julia se mit donc à prier, pendant ce temps Julien regardait le plafond, l’air ennuyé


Peu de temps après

-Julia : Je vous sers ?
-Julien : Ah ! C’est bon ! Nous pouvons manger ? Pas trop s’il vous plait, je ne suis pas habitué à ces genres de nourritures
- Julia : Ah bon ! Et vous mangez quoi d’habitude (demanda Julia l’air toute surprise)
-Julien : Parlez –moi de vous (demanda Julien comme si Julia ne lui avait pas posé de question)
-Julia : Que voulez-vous savoir ?
-Julien : Tout ce qu’on peut savoir sur vous
-Julia : Je suis née au Gabon, j’ai vécu presque toute ma vie là avant que…


*et Julia éternua…


-Julien : Avant que quoi ?
-Julia : Que je ne trouve du boulot ici.
-Julien : Je vois, mais vous avez un trait togolais
-Julia : On me ledit souvent


**De cette réponse, Julia quitta la table avec son plat qu’elle n’avait fini qu’à moitié
Julien quant à lui resta seul à la table pendant quelques minutes, puis retourna devant la télé sans avoir pris la peine de toucher son plat
Julia, qui n’arrêtait pas d’éternuer  regagna sa chambre à la hâte


**Ce que Julia ne savait, c’est que Julien avais mis un produit dans la nourriture quand au moment où elle cuisinait, elle due sortir acheter du sel qui manquait dans sa cuisine.
Julien avait profité  de cette absence pour commettre son forfait.





Il était environ 16h quand Julien entra dans la chambre de Julia, cette dernière avait les yeux  à demi fermés, elle réagissait comme une malade qui subissait les mauvais effets d’un produit (comme si AtiKe LE pOE)
-Julia : Que faites-vous ici ?
-Julien : Je viens terminer ce que j’ai commencé


*Il s’assit dans le seul canapé de la chambre et fit face au lit dans lequel Julia était, incapable de tout mouvement


-Julia : Aiie..J’ai mal à la tête
-Julien : Oui ! Je sais, ca va vous passer. Vous ne pourrez bientôt plus bouger et moi je passerai à l’action (rire) Un peu comme Van DAMME dans le film que je viens de voir
-Julia : Qui es-tu ? Que me veux-tu ?
-Julien : Tu ne me reconnais donc pas ? Rire…Comment pourrais-tu ? Tu n’as jamais cherché à me voir tout comme ta mère. Vous m’aviez abandonné…
-Julia : Que veux tu dire..Que tu es…
-Julien : Oui…Petite sœur
-Julia : Cela ne se peut, mon frère est devenu prestataire et un prestataire à ce que j’en sais ne peut avoir ta taille
-Julien : Tu es bien renseignée petite sœur, sauf que tu ignores l’étendue des pouvoirs du prestataire.
Ce corps que voici, n’est pas le mien, c’est comme un habit pour mener à bien mon plan diabolique, plan que jusqu’ici marche à la perfection.
Très chère sœur, je vais te détruire.
-Julia : Pourquoi ? Que t’ai-je fait ?
-Julien : Au fond, tu n’y es pour rien mais comme « MAMAN » n’a pas pu payer, toi très chère sœur tu vas payer à sa place (rire)


*Julien était dans le canapé et parlait à la façon d’un homme dérangé. Il n’avait plus rien de l’homme qui avait séduit du regard Julia dans le bureau quelques heures auparavant .Comme le dirait quelqu’un : «  il était bon pour Zébé »


-Julia : Que voulais-tu que je fasse ? Que je me mette à ta rechercher  alors qu’on avait interdit à mère de remettre les pieds au village ?

-Julien : AHHHH…Tais-toi ! Je m’en fous qu’on vous l’a interdit ou pas. Vous auriez pu essayer par amour. Je suis sons fils après tout. Je suis… ton frère

**de ses mots s’en suivirent des minutes de silence insoutenable



-Julien : et hop (Il se leva du canapé).Il est l’heure.


*Et par une de ces incantations que lui seul connait le sens, il sortit du corps dans lequel il était jusque là
Gilles alias Julien montra son vrai visage


-Gilles : Sœur, voici ton frère. Voici ce que je suis.



A mardi….
                                                                                                                   A suivre

samedi 11 mars 2017

1 aN d'AvEnTuRe

1er maRs 2016- 1er maRs 2017

un    An    d'aVENTure,    un   an de    suspENS,    un  an  de  pURe    foLie...



par   la    gRaCe   de   DIEU   nouS   rePrendRons   mArdi    pRochaIn...




d'Ici    là    On    peUt    TouJourS    reVIvrE    ceS   iNstanTs   de   LecTuRe   et   PouRqUoi   Pas partAgeR   eN   comMentaiRe   leS   partiEs   qui   noUs   onT   leS   plus   MarQué...



D'ici    eN   pasSanT     par    FaCEbOoK wHasApP   voUs   aVeZ   été   noMbrEuX   à   aiMer   Ce   que Nous cRéonS   Merci   naMI   lOOO


mOI   jE   vOUs   dIt A Mardi



                                                        0Kevin_brindilleO

jeudi 3 novembre 2016

Terrible rencontre ( Part II )




*Julia quitta La Salle en toute hâte pour les toilettes. Elle se lava le visage,  de quoi essuyer toute la Sueur qu’elle avait.

**Dans la tête de Julia
Était-ce un rêve? Comment cela se peut? Ce ne peut qu’être qu’un rêve.

 *Puis, elle retourna retrouver Julien dans la salle
-Julien : Vous m’aviez fait peur !

*Julia, émit un « Ah bon ! » pour marquer sa surprise

-Julien : Depuis le départ de votre chef, vous n’aviez pas dit un mot si ce n’est que ce : « Ne me touchez pas »
-Julia : ça va ! Ne vous inquiétez pas. Et désolé pour tout à l’heure 
-Julien : Bon ! Que voulez-vous savoir sur mon village ?
-Julia : Eum…tout
-Vous savez, Mlle Julia, c’est bien ça ?
-OUI ! Julia
-Il n’ ya plus rien d’intéressant là-bas. Sinon que désarroi
-Julia : Nous l’avons remarqué lors de notre inspection. Mais ce que nous voulions savoir c’est ce qui s’est passé. Pourquoi ce grand village, tout d’un coup tombe en déclin ?


**A cette question, le visage de Julien devint  plus dur et il répondit avec une certaine colère dans la voix
-Julien : Qui vous dit qu’il est tombé en déclin ? Ne dites plus jamais ça
-Julia : Désolé, monsieur, je ne voulais pas vous offenser
-Julien : L’histoire est très simple mais cruelle


**Et il se mit à lui raconter l’histoire de Guy et Guillaume sans oublier celle de Karolina
- Julien : Ce à quoi, on ne s’attendait pas, c’était la réaction du garçon que Karolina était venu donner au prestataire
-Julia : Quelle était sa réaction ?
-Julien : La même que celle des enfants abandonnés
-Julia : Vous voulez dire qu’il s’est senti abandonné ?
-Julien : Exactement ! Ce sentiment d’abandon est peu à peu devenu de la haine. Plus il grandissait, plus grande était cette haine
-Julia : Qu’est ce qui s’est passé après ?
-Julien : Sa haine l’empêchait de bien faire son travail et peu à peu, le village a perdu de sa renommée
-Julia : Pourquoi n’est-il pas allé à la recherche de sa mère ?
-Julien : Il ne le pouvait. Un prestataire ne peut quitter le pays, sinon que s’il se fait remplacé.
-Julia : Quand nous sommes allés dans le village, nous n’avons vu personne, encore moins le prestataire
-Julien : Il n’ya que des fantômes qui errent dans le village.
-Julia : Pourquoi personne, même dans le village voisin ne veut nous parler de cette histoire ?
-Julien : Ceux qui ont osé, sont morts sur le coup. Même si le village est en pareil état, il n’est permis à aucune mauvaise langue de mal parler du village.
-Julia : eum…Cela veut dire..que..Que  vous allez … ??


**Julien se leva et alla se mettre au bord de la fenêtre.

*De la fenêtre, il continua
-Ne vous inquiétez pas pour moi, vous avez plus à craindre
-Julia : Vous dites ?
-Julien : Ne faites pas attention, j’ai tendance à m’évader 


**Puis Julien revint à la table et son visage redevint doux, et d’une voix posé, il dit
-Désolé mais voilà tout ce que je sais
-Julia : C’est déjà bien, avec tout ce que vous nous avez dit, nous allons pouvoir clôturer le dossier.
-Julien : Cela me dérange un peu, mais…
-Julia : y’ a-t-il un problème ?       
 -Julien : Je n’ai en fait pas de famille ici, encore moins de quoi me loger. Je n’ai juste de quoi repartir demain pour Lagos
-Julia : Vous venez de Lagos ?
-Julien : Oui ! J’étais  venu acheter des marchandises et c’est là que par hasard je suis tombé sur votre annonce.
Je n’avais pas prévu resté si longtemps à Lomé du coup mes fonds pour  l’hébergement se sont vite épuisés
-Julia : Vraiment désolé, je comprends le pourquoi vous frappez à notre porte un dimanche  
-Julien : Je me suis dit, si je n’arrive pas à vous joindre aujourd’hui, demain quoi qu’il en coûte je partirai
-Julia : Vous avez bien fait de venir. Si je comprends bien, vous n’avez nulle part où dormir c’est bien ça ?
-Julien : Bien malheureusement oui !
-Julia : Il y a une somme qui a été prévu pour tout témoin qui viendrait à nous. Avec, vous pourrez  prendre une chambre d’hôtel
-Julien : Non ! Non ! Je ne veux pas de cet argent. Si je prends cet argent c’est comme si je signais mon arrêt de mort

*Il devint tout d’un coup anxieux
-Julia : Okay ! Il n’ ya pas raison de vous affoler. Je vais aller voir tout de même mon boss, il pourra toujours vous trouvez un hôtel
-Julien : Non ! Mlle…S’il en est ainsi je pars. Tout frais que vous engendrerez pour moi sera perçu par Azevi comme une trahison. Je ne souhaite pas aggravé mon cas.
-Julia : Attendez un instant


-**Julia alla s’entretenir avec son boss qui le félicita pour tout et le supplia d’héberger Julien pour la nuit.

-Julia : Mais boss c’est un inconnu
-Boss : Inconnu ? Vue la façon dont vous avez mené l’entretien je ne dirais pas hein (Il fit paraitre un petit sourire sur son visage)
-Julia : Que voulez-vous dire par là ?
-Boss : Ne faites pas attention, je n’ai pas à me mêler de vos affaires privées
Quoi qu’il en soit, acceptez donc de l’héberger, vous en apprendrez peut être un peu plus.
-Julia : Vous m’en demandez un peu trop boss
-Boss : Allez, ne faites pas celle qui n’est pas contente de cette proposition. Vous serez même indemniser et ceci sans comptez les avantages dont vous profitez déjà (rire)


**Quand Julia quitta son boss, elle ne savait où se donner la tête. Elle était perdue dans ses pensées

*Dans la tête de Julia
Quels étaient donc ces sous-entendus dont le boss faisait mention ?
Devrais-je comprendre qu’il s’est réellement passé quelque chose ?
Oh ! Non…Comment cela se peut ? Quelle honte pour ma personne…

*Peu de temps après, elle retourna voir Julien
Après un moment d’hésitation, elle dit
-Julia : Et si je vous proposais mon hospitalité ?
-Julien : Je vous en serais éternellement reconnaissant


**Il était presque 14h quand Julia accompagnée de Julien quittèrent l’immeuble .Ils prirent un taxi pour la maison de Julia.
Entre temps Julia était descendue payer le taxi qui l’avait conduit de Kpalimé à Lomé.


*Chez Julia
-Julia : Bon ! Ici c’est chez moi. Faites comme chez vous
-Julien : Vous avez une belle maison
-Julia : Merci ! Mais je compte l’abandonner très bientôt
-Julien : Vous en êtes-sure ?


**Julien sourit  peu après sa question qui n’eut pas de réponse et alla s’installer  au salon où il alluma la télé.
Il se comportait bien comme chez lui, ce que Julia fit remarquer : «  Vous m’aviez bien pris au mot hein »
-Julien : C’est-à-dire ?
-Julia : Oh ! Non rien, ne faites pas attention
Je vais prendre une douche et je reviens nous préparer quelque chose à manger

**Dans la salle de bain, Julia fit une découverte (dans ses dessous, elle trouva des traces quelques peu dérangeants) ce qui la fit revenir quelques minutes plus tard  au salon, drapée d’un pagne qu’elle noua en haut de la poitrine
Avec une voix remplie de colère, elle interpella Julien
-Julia : Dites-moi, qu’est ce qui s’est réellement passé dans la salle de conférence ? Que m’aviez-vous fait ?

**Julien était assis dans le canapé faisant dos au couloir donnant à la chambre de Julia.
Julia se tenait derrière Julien quand elle lui posa la question.
Ce dernier fit mine de ne rien entendre, toujours plongé dans la télé
Bien énervée Julia vint se placer devant la télé
-Julia : Répondez-moi ?


**Là, Julien se leva du canapé et se dirigea vers la cuisine pour prendre de l’eau
En se déplaçant, il laissa sortir : «  La question devrait plutôt être, qu’est ce que nous avons fait ? »
-Julia : Vous dites ?

*Julia le suivit à la cuisine.
Julien après avoir pris une grande gorgée d’eau, se tourna vers Julia, qui était maintenant face à lui. Il l’a regarda fixement puis dit : «  Tu ne te rappelles donc de rien ? »
-Julia : De quoi devrais-je me rappeler ?
-Julien : De ça !


**Julien machinalement la pris par la taille et la tira vers lui, à son touché Julia avait le corps qui tremblait, elle était une fois encore incapable de bouger, de dire un mot.
Julien lui enfourcha langoureusement la langue dans la bouche puis la porta sur la table au dessus de laquelle se trouvait une série d’étagères.
D’une main, il se débarrassa du pagne et entreprit un balayage  violent du domaine qui lui était désormais familier avec sa langue.
Comme par enchantement, le corps de Julia répondait une fois encore, d’une main elle tenait fermement la tête de julien entre ses jambes, une manière de l’empêcher  d’en sortir et avec l’autre, elle se titillait le bout des seins.
Julien, pour cette fois était bien violent et cela n’avait pas l’air de déplaire Julia bien au contraire. Elle avait croisé derrière la nuque de Julien ses deux pieds, manière de l’emprisonner davantage.
C’était une scène limite sauvage.
Comment pouvait-elle se laisser si facilement faire ? Quel était donc le secret que Julien semblait si bien détenir pour qu’à son touché notre héroïne perde tous ses moyens ?
Quoi qu’il en soit, Julia prenait bien ses pieds malgré la tournure que prenaient les choses
De temps en temps, elle émettait un « Oui » ou un « Continue »
Son corps dansait pour une fois encore d’extase.
 Après quelques minutes, Julien, la sentant à bout libéra sa tête aussitôt.
Il alla prendre une autre gorgée d’eau puis retourna au salon suivre la télé.
Julia resta près d’une minute sur la table, sur sa soif, incapable de bouger, incapable de se lever.
Elle était non seulement insatisfaite mais aussi honteuse. Il n’y avait pas de quoi être fier. Tout ce mélange de sentiments lui fit sortir un Grand CRI..Chose qui ne manqua pas de faire rire Julien depuis le salon.
-Julia : AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH


       A suivre

Prochainement…
-Julien : Julia O Mou  Kpo Kpo EnouDEkPEo….. (Tu n’as encore rien vu, ce n’est que le début de ta descente aux enfers) Criait Julien depuis le salon avec des éclats de rire

mardi 25 octobre 2016

Terrible rencontre ( Part I )

A audrey.... ;)


Au matin  quand Crédo se réveilla, Julia n’était pas à ses cotés. Il prit ses effets et quitta la chambre de Julia pour sa chambre. Après s’être douché, il appela la réception pour avoir des nouvelles de Julia.

- Crédo : Passez-moi miss Julia s’il vous plait
-Réception : Désolé Monsieur, elle a quitté l’hôtel il y a une heure
-Crédo : Comment ça ?
*Il raccrocha et s’empressa de retourner à la chambre de Julia, mais n’ayant pas la clé, il ne put l’ouvrir

*Il décida donc d’aller prendre son petit déjeuner au bord de la piscine, de là il entreprit d’appeler Julia, malheureusement pour lui ça sonnait inaccessible

-Crédo : Garçon ?                                
-Oui ! Monsieur vous désirez ?
-Crédo : Allez prendre la clé de la 102 et vérifiez si Mlle Julia n’y a rien laissé pour moi
-Entendu monsieur

*Près d’une demi-heure après

-Monsieur, elle vous a laissé une note, du reste elle a pris tous ses effets  à part une robe qu’elle a laissée au lavage
-Crédo : Merci ! Vous pouvez disposer

**Sur la note
Crédo, désolé pour mon départ subit. Le boss m’a appelé pour une urgence. Il y a un témoin concernant notre dossier qui s’est présenté et il veut que je m’entretienne avec lui aujourd’hui. Merci pour le weekend.
Je n’avais pas tort, pas résistant du tout… ;)

-Crédo : Je vais le faire muter celui-là ! Fichu boss, il a gâché mon weekend

*Il reprit la note, la lu une seconde fois et s’attarda sur la dernière ligne en disant avec un grand sourire : «  Pas résistant »




*Dans le taxi
-Julia : Oh ! Non, mon portable est déchargé. Crédo doit m’en vouloir à mort.
*Elle sourit et rentra quelques secondes dans ses pensées. Elle se remémorait les instants de la veillée. En voyant le sourire qui se dessinait sur son visage on sentait bien qu’elle avait passé de bons moments en compagnie de Crédo. Puis elle revint à elle-même et se demanda ce qu’il y avait de si pressé pour que l’entretien ait lieu un dimanche …

**Le taxi s’arrêta devant l’immeuble où elle travaillait, son boss l’attendait  à l’entrée dans sa voiture.
- Julia : S’il vous plait attendez-moi ici.
*Puis elle se dirigea vers la voiture de son boss, qui en sortit à sa vue.
-Boss : Cela fait presqu’une heure que je vous attends, vous êtes passées où ?

**Dans la tête de Julia
Allo ! Quoi ? Nous sommes dimanche hein et je fais ce que je veux de mon weekend. Qu’est ce qui lui prend de me poser une telle question ? Que vais-je bien lui répondre ?

-Julia : Eum… n’êtes vous pas censé être en voyage ?
-Boss : Chère Julia, je vous pensais mieux me connaître.
Je ne pouvais après les rapports qui me sont parvenus rester là alors qu’il y a une affaire en or ici


***Le boss était un mec  de carrure assez imposante ; mais en contradiction à cette forme c’était un mec plutôt simplet  avec  sa peau métissé qui lui donnait plein de points auprès des filles de la boite. Au premier regard on en tombait dingue mais après avoir échangé un peu avec lui on l’était moins. Bien qu’avec tous ses atouts il n’avait pas le même trait de caractère que les hommes de sont acabit, ce qui décevait beaucoup.



-Julia : Okay ! Vous avez reçu ma lettre de démission ?
-boss : De quelle lettre parlez-vous ?
-Julia : De ma lettre…

*le boss ne lui laissa pas le temps de finir

-Boss : Trêve de bavardage inutile. J’étais venu au bureau ce matin prendre un dossier quand un jeune homme est venu à ma rencontre.

*En même temps qu’il lui parlait, ils montèrent dans l’ascenseur
-Un jeune homme ?
-Boss : Oui ! Il m’a dit avoir lu l’annonce dans le journal
-Julia : Hm ! Un jeune homme aussi a appelé entre temps
-boss : Oui ! C’est le même. Il me l’a dit aussi. Problème de réseau sans doute

**Le boss parlait de tout ça avec un certain enthousiasme, que Julia même en était surprise. Il était tellement excité qu’on l’aurait comparé à une adolescente à qui le plus beau du lycée invitait à sortir.

-Julia : Mais pourquoi  Venir un dimanche ?
-Boss : Ma chère, vous le lui demanderez vous-même. Qu’il vienne dimanche ou un autre jour c’est dans notre intérêt.

*Ils arrivèrent au premier étage, où se trouvait le jeune homme en question. Il était assis entrain de prendre un café que le boss lui avait généreusement préparé.

-Boss : Miss Julia, voici notre témoin !

*Le jeune homme se leva aussitôt
-Boss : Julia, voici Mr…

*Le jeune homme s’empressa de se présenter

-Je m’appelle Julien, Julien ATTI.
-Boss : N’est ce pas Gilles vous m’aviez dit tout à l’heure ?
-Julien : C’est un nom composé en fait : Gilles-julien. Comme vous m’aviez dit que celle avec qui je m’entretiendrais s’appellerait Julia, j’ai pensé que me présenter sous le nom de Julien nous mettrait tous deux plus en confiance pour…
-Boss : Intéressant ! Miss Julia, prenez soin de lui

*Puis il les quitta
Il faut dire que jusqu’ à l’instant  où le boss quittait la salle, Julia était restée comme scotché.
C’était clair, notre Julia était tombée sous le charme.

**Julien, il avait tout du mec parfait.
Grand de taille, bien baraqué, le sourire facile. Avec son habillement à la manière de ces jeunes qui aiment fièrement exhiber leur corps aux bordures des plages, on pouvait facilement voir se dessiner ses jolies tablettes au chocolat

*Ils étaient assis face à face et pendant près de deux minutes, aucun des deux n’osa prononcer un seul mot, puis enfin
-Julia : Il fait drôlement chaud ici
-Julien : Pourtant l’air conditionné est en marche

**Julia fit un sourire gêné puis continua
-Julia : Ce doit être le changement d’air. Je viens de rentrer de Kpalimé.
-Julien : Ah ! Je ne connais pas Kpalimé

*Cette réponse gêna encore plus Julia
-Julien : Je vous fais autant d’effets ?
-Julia : Pa..par…Pardon ?
-Julien : Vous avez très bien entendu.



**Julia, elle était à l'image de ces jolies dames que nous rencontrons souvent dans les grandes institutions ou encore celles là qu'on envoit souvent conclure de gros contrats. Leur simple sourire suffit à faire conclure le contrat, si bien évidemment l'autre partie a eu la mauvaise idée de se faire représenter par un homme. Même avec deux à trois enfants à la maison, elle ne perdent rien de leur beauté. A croire qu'elles sont nées sous une bonne étoile et que tout devrait leur marcher.
Bien entendu, Julia le savait si bien et elle en usait beaucoup. N'importe qui ne pouvait se payer le luxe de l'inviter à prendre ne serait ce un simple café. C'était une femme en or très convoitée. Encore qu'elle ne se laissait pas faire meme s'il s'agissait d'une personne avec une grande renommée. Pour preuve, elle fait ce qu'elle veut de notre chère Crédo.

Pour cette fois-ci ,elle était dominée.Elle a trouvé plus fort qu'elle. Comment cela se peut? Moi même je ne saurais vous le dire. Son culot, ses grands aires, elle perdit tout à la vue de Julien...Hmm s'il était permis à Crédo de voir ce spectacle , il en serait ...

**Et il se mit à déboutonné sa chemise, ce qui permit à Julia de mieux voir le  décor qu’offrait son torse
-Julia : Vous… vous faites quoi là ?

* Avait-elle eu le temps de finir sa question que Julien était debout devant elle
Il se saisit de sa main et la posa sur son torse. Julia l’enleva aussitôt. Mais il reprit de plus belle et cette fois-ci il la fit balayer tout son torse et s’arrêta au bas de son ventre où se dessinait un magnifique V.
Il laissa la main de Julia au bas de son ventre, main que Julia avait de la peine à enlever craignant quand l’enlevant il ne tente pire que ça.
Julien se saisit aussitôt de sa deuxième main et se mit à sucer ses doigts un par un.
Le contact de ses doigts avec  les lèvres de Julien fit passer une décharge dans tout le corps de Julia, ce qui  la fit sursauter. Elle qui était  jusque là toujours dans son fauteuil presque paralysée par le spectacle pour lequel, elle était depuis quelque secondes le cobaye.
-Julien : Tu aimes ça hein ?


*D’un geste vif et rapide, il la prit par la taille, la souleva puis la porta pour la déposer sur la seule table faisant office de table de conférence. Elle sur le dos lui tenant par les biceps et lui entre ses cuisses lui tenant par la taille.

Ils se regardèrent pendant une dizaine de secondes, elle, toute tremblante, se demandant ce qu’il allait faire d’elle et lui, bien sûr de son coup, se demandant comment il allait la prendre.
Et contre toute attente, Julia s’engagea la première, elle libéra les biceps de Julien, prit son cou et l’attira vers elle. S’en suit un long baisé fougueux.
Quelques instants après, Julia sursauta et émit un petit cri de plaisir…Julien à l’aide d’une de ses mains venait de saluer son abricot.
Face à ce sursaut, Julien voulut dégager sa main quand machinalement à l’aide de sa main, Julia le stoppa et lui souffla à l’oreille gauche : « Continue »
Julien par cet accord qui venait de lui être soufflé, entra dans le grand domaine de Julia.

Et quel domaine ? Un doux domaine que Julia entretenait si bien. L’entrée était peu fleurie, signe que le rasoir est passé il n’y a pas si longtemps. On devinait aisément  que Julia ne recevait pas beaucoup de visiteurs. Enfin Julien le devina et fier du gros lot qui s’offrait à lui, un joli sourire diabolique se dessina sur son visage.

A l’aide de sa main droite il entreprit des vas-et- vient à un rythme calculé et si discipliné que tout le corps de Julia se mit à suivre la cadence, peu après ce fut son souffle.
Son ventre faisait des vagues bien plus rapides que celle de la mer, donnant ainsi un son à cette douce musique orchestrée par l’index et le majeur si bien éduqué de julien.

On était à 10h du matin, un dimanche, au 1er étage d’un immeuble vidé de tout son personnel ou presque, dans une petite salle de conférence où deux amants qui venait à peine de se rencontrer donnaient libre cour à leurs envies. L’un, fier d’avoir décroché le gros lot, un fantasme d’ado qui devient réalité et l’autre décidé à assouvir l’envie que le bel inconnu suscitait en elle.

Tout ceci dans un cadre et un décor digne d’une mise en scène hollywoodienne, l’air conditionné à fond. La table qui servait pour les grands rencontres était utilisée cette fois pour toute une autre utilité et ceci des moins déplaisants. Couchés sur le dos l’amante jouissait de plaisir insoupçonné, on pouvait ouïr son souffle dans tout le couloir et l’idée que n’importe qui pouvait les surprendre à tout moment rendait le moment que plus excitant.

Comme si ça ne suffisait pas, de son autre main, julien rentra dans la chemisette de Julia et fit sortir le sein gauche de ce qui, jusque là lui servait de rempart. Cette dernière action fit perdre à Julia tous ses moyens. Julien titillait le bout de son sein avec la même discipline qu’à l’étage plus bas.

Dans la tête de Julia, son corps était devenu comme un récipient, au fur et à mesure que le temps passait, c’était comme ci un fluide chaud, doux et brûlant montait. Son souhait c’était d’arriver jusqu’au débordement même si elle devait en perdre le souffle.

De temps en temps Julien face à cette danse et ces vagues qu’opérait le corps et le ventre de julia, gratifiai ce dernier de doux baiser et attardait sa langue sur les tétons de notre sulfureuse Julia.

Julia, ne savait plus où se donner la tête, tout son corps dansait, jubilait à l’image d’un coq qu’on venait d’égorger mais qui avait du mal à mourir.

Au bord de l’assouvissement, ses yeux étaient à semi-ouverts. Prenant conscience que la posture dans laquelle elle était, pouvait faire honte à un singe et, ne voulant surtout pas que Julien ne se doute de quelque chose pour s’arrêter en si bon chemin, elle couvrit son visage de ses mains.

Peu de temps après, elle donna son dernier souffle.

Elle en avait eu pour son compte.

La danse cessa.

Les vagues cessèrent.

A la place des larmes d’un plaisir comblé, d’une femme assouvie  prirent place sur son visage.

Julien le gratifia d’un dernier baisé sur les lèvres puis….




 tout devint flou….








-Julien: Allo! Miss Julia? Ça va?
**Julia ouvrit les yeux, en face d’elle Julien accroupi. Elle se leva aussitôt furieuse, toute en sueur, le visage rempli de regret et de honte et cria: “Ne me touchez pas


                         A suivre…