mardi 25 octobre 2016

Terrible rencontre ( Part I )

A audrey.... ;)


Au matin  quand Crédo se réveilla, Julia n’était pas à ses cotés. Il prit ses effets et quitta la chambre de Julia pour sa chambre. Après s’être douché, il appela la réception pour avoir des nouvelles de Julia.

- Crédo : Passez-moi miss Julia s’il vous plait
-Réception : Désolé Monsieur, elle a quitté l’hôtel il y a une heure
-Crédo : Comment ça ?
*Il raccrocha et s’empressa de retourner à la chambre de Julia, mais n’ayant pas la clé, il ne put l’ouvrir

*Il décida donc d’aller prendre son petit déjeuner au bord de la piscine, de là il entreprit d’appeler Julia, malheureusement pour lui ça sonnait inaccessible

-Crédo : Garçon ?                                
-Oui ! Monsieur vous désirez ?
-Crédo : Allez prendre la clé de la 102 et vérifiez si Mlle Julia n’y a rien laissé pour moi
-Entendu monsieur

*Près d’une demi-heure après

-Monsieur, elle vous a laissé une note, du reste elle a pris tous ses effets  à part une robe qu’elle a laissée au lavage
-Crédo : Merci ! Vous pouvez disposer

**Sur la note
Crédo, désolé pour mon départ subit. Le boss m’a appelé pour une urgence. Il y a un témoin concernant notre dossier qui s’est présenté et il veut que je m’entretienne avec lui aujourd’hui. Merci pour le weekend.
Je n’avais pas tort, pas résistant du tout… ;)

-Crédo : Je vais le faire muter celui-là ! Fichu boss, il a gâché mon weekend

*Il reprit la note, la lu une seconde fois et s’attarda sur la dernière ligne en disant avec un grand sourire : «  Pas résistant »




*Dans le taxi
-Julia : Oh ! Non, mon portable est déchargé. Crédo doit m’en vouloir à mort.
*Elle sourit et rentra quelques secondes dans ses pensées. Elle se remémorait les instants de la veillée. En voyant le sourire qui se dessinait sur son visage on sentait bien qu’elle avait passé de bons moments en compagnie de Crédo. Puis elle revint à elle-même et se demanda ce qu’il y avait de si pressé pour que l’entretien ait lieu un dimanche …

**Le taxi s’arrêta devant l’immeuble où elle travaillait, son boss l’attendait  à l’entrée dans sa voiture.
- Julia : S’il vous plait attendez-moi ici.
*Puis elle se dirigea vers la voiture de son boss, qui en sortit à sa vue.
-Boss : Cela fait presqu’une heure que je vous attends, vous êtes passées où ?

**Dans la tête de Julia
Allo ! Quoi ? Nous sommes dimanche hein et je fais ce que je veux de mon weekend. Qu’est ce qui lui prend de me poser une telle question ? Que vais-je bien lui répondre ?

-Julia : Eum… n’êtes vous pas censé être en voyage ?
-Boss : Chère Julia, je vous pensais mieux me connaître.
Je ne pouvais après les rapports qui me sont parvenus rester là alors qu’il y a une affaire en or ici


***Le boss était un mec  de carrure assez imposante ; mais en contradiction à cette forme c’était un mec plutôt simplet  avec  sa peau métissé qui lui donnait plein de points auprès des filles de la boite. Au premier regard on en tombait dingue mais après avoir échangé un peu avec lui on l’était moins. Bien qu’avec tous ses atouts il n’avait pas le même trait de caractère que les hommes de sont acabit, ce qui décevait beaucoup.



-Julia : Okay ! Vous avez reçu ma lettre de démission ?
-boss : De quelle lettre parlez-vous ?
-Julia : De ma lettre…

*le boss ne lui laissa pas le temps de finir

-Boss : Trêve de bavardage inutile. J’étais venu au bureau ce matin prendre un dossier quand un jeune homme est venu à ma rencontre.

*En même temps qu’il lui parlait, ils montèrent dans l’ascenseur
-Un jeune homme ?
-Boss : Oui ! Il m’a dit avoir lu l’annonce dans le journal
-Julia : Hm ! Un jeune homme aussi a appelé entre temps
-boss : Oui ! C’est le même. Il me l’a dit aussi. Problème de réseau sans doute

**Le boss parlait de tout ça avec un certain enthousiasme, que Julia même en était surprise. Il était tellement excité qu’on l’aurait comparé à une adolescente à qui le plus beau du lycée invitait à sortir.

-Julia : Mais pourquoi  Venir un dimanche ?
-Boss : Ma chère, vous le lui demanderez vous-même. Qu’il vienne dimanche ou un autre jour c’est dans notre intérêt.

*Ils arrivèrent au premier étage, où se trouvait le jeune homme en question. Il était assis entrain de prendre un café que le boss lui avait généreusement préparé.

-Boss : Miss Julia, voici notre témoin !

*Le jeune homme se leva aussitôt
-Boss : Julia, voici Mr…

*Le jeune homme s’empressa de se présenter

-Je m’appelle Julien, Julien ATTI.
-Boss : N’est ce pas Gilles vous m’aviez dit tout à l’heure ?
-Julien : C’est un nom composé en fait : Gilles-julien. Comme vous m’aviez dit que celle avec qui je m’entretiendrais s’appellerait Julia, j’ai pensé que me présenter sous le nom de Julien nous mettrait tous deux plus en confiance pour…
-Boss : Intéressant ! Miss Julia, prenez soin de lui

*Puis il les quitta
Il faut dire que jusqu’ à l’instant  où le boss quittait la salle, Julia était restée comme scotché.
C’était clair, notre Julia était tombée sous le charme.

**Julien, il avait tout du mec parfait.
Grand de taille, bien baraqué, le sourire facile. Avec son habillement à la manière de ces jeunes qui aiment fièrement exhiber leur corps aux bordures des plages, on pouvait facilement voir se dessiner ses jolies tablettes au chocolat

*Ils étaient assis face à face et pendant près de deux minutes, aucun des deux n’osa prononcer un seul mot, puis enfin
-Julia : Il fait drôlement chaud ici
-Julien : Pourtant l’air conditionné est en marche

**Julia fit un sourire gêné puis continua
-Julia : Ce doit être le changement d’air. Je viens de rentrer de Kpalimé.
-Julien : Ah ! Je ne connais pas Kpalimé

*Cette réponse gêna encore plus Julia
-Julien : Je vous fais autant d’effets ?
-Julia : Pa..par…Pardon ?
-Julien : Vous avez très bien entendu.



**Julia, elle était à l'image de ces jolies dames que nous rencontrons souvent dans les grandes institutions ou encore celles là qu'on envoit souvent conclure de gros contrats. Leur simple sourire suffit à faire conclure le contrat, si bien évidemment l'autre partie a eu la mauvaise idée de se faire représenter par un homme. Même avec deux à trois enfants à la maison, elle ne perdent rien de leur beauté. A croire qu'elles sont nées sous une bonne étoile et que tout devrait leur marcher.
Bien entendu, Julia le savait si bien et elle en usait beaucoup. N'importe qui ne pouvait se payer le luxe de l'inviter à prendre ne serait ce un simple café. C'était une femme en or très convoitée. Encore qu'elle ne se laissait pas faire meme s'il s'agissait d'une personne avec une grande renommée. Pour preuve, elle fait ce qu'elle veut de notre chère Crédo.

Pour cette fois-ci ,elle était dominée.Elle a trouvé plus fort qu'elle. Comment cela se peut? Moi même je ne saurais vous le dire. Son culot, ses grands aires, elle perdit tout à la vue de Julien...Hmm s'il était permis à Crédo de voir ce spectacle , il en serait ...

**Et il se mit à déboutonné sa chemise, ce qui permit à Julia de mieux voir le  décor qu’offrait son torse
-Julia : Vous… vous faites quoi là ?

* Avait-elle eu le temps de finir sa question que Julien était debout devant elle
Il se saisit de sa main et la posa sur son torse. Julia l’enleva aussitôt. Mais il reprit de plus belle et cette fois-ci il la fit balayer tout son torse et s’arrêta au bas de son ventre où se dessinait un magnifique V.
Il laissa la main de Julia au bas de son ventre, main que Julia avait de la peine à enlever craignant quand l’enlevant il ne tente pire que ça.
Julien se saisit aussitôt de sa deuxième main et se mit à sucer ses doigts un par un.
Le contact de ses doigts avec  les lèvres de Julien fit passer une décharge dans tout le corps de Julia, ce qui  la fit sursauter. Elle qui était  jusque là toujours dans son fauteuil presque paralysée par le spectacle pour lequel, elle était depuis quelque secondes le cobaye.
-Julien : Tu aimes ça hein ?


*D’un geste vif et rapide, il la prit par la taille, la souleva puis la porta pour la déposer sur la seule table faisant office de table de conférence. Elle sur le dos lui tenant par les biceps et lui entre ses cuisses lui tenant par la taille.

Ils se regardèrent pendant une dizaine de secondes, elle, toute tremblante, se demandant ce qu’il allait faire d’elle et lui, bien sûr de son coup, se demandant comment il allait la prendre.
Et contre toute attente, Julia s’engagea la première, elle libéra les biceps de Julien, prit son cou et l’attira vers elle. S’en suit un long baisé fougueux.
Quelques instants après, Julia sursauta et émit un petit cri de plaisir…Julien à l’aide d’une de ses mains venait de saluer son abricot.
Face à ce sursaut, Julien voulut dégager sa main quand machinalement à l’aide de sa main, Julia le stoppa et lui souffla à l’oreille gauche : « Continue »
Julien par cet accord qui venait de lui être soufflé, entra dans le grand domaine de Julia.

Et quel domaine ? Un doux domaine que Julia entretenait si bien. L’entrée était peu fleurie, signe que le rasoir est passé il n’y a pas si longtemps. On devinait aisément  que Julia ne recevait pas beaucoup de visiteurs. Enfin Julien le devina et fier du gros lot qui s’offrait à lui, un joli sourire diabolique se dessina sur son visage.

A l’aide de sa main droite il entreprit des vas-et- vient à un rythme calculé et si discipliné que tout le corps de Julia se mit à suivre la cadence, peu après ce fut son souffle.
Son ventre faisait des vagues bien plus rapides que celle de la mer, donnant ainsi un son à cette douce musique orchestrée par l’index et le majeur si bien éduqué de julien.

On était à 10h du matin, un dimanche, au 1er étage d’un immeuble vidé de tout son personnel ou presque, dans une petite salle de conférence où deux amants qui venait à peine de se rencontrer donnaient libre cour à leurs envies. L’un, fier d’avoir décroché le gros lot, un fantasme d’ado qui devient réalité et l’autre décidé à assouvir l’envie que le bel inconnu suscitait en elle.

Tout ceci dans un cadre et un décor digne d’une mise en scène hollywoodienne, l’air conditionné à fond. La table qui servait pour les grands rencontres était utilisée cette fois pour toute une autre utilité et ceci des moins déplaisants. Couchés sur le dos l’amante jouissait de plaisir insoupçonné, on pouvait ouïr son souffle dans tout le couloir et l’idée que n’importe qui pouvait les surprendre à tout moment rendait le moment que plus excitant.

Comme si ça ne suffisait pas, de son autre main, julien rentra dans la chemisette de Julia et fit sortir le sein gauche de ce qui, jusque là lui servait de rempart. Cette dernière action fit perdre à Julia tous ses moyens. Julien titillait le bout de son sein avec la même discipline qu’à l’étage plus bas.

Dans la tête de Julia, son corps était devenu comme un récipient, au fur et à mesure que le temps passait, c’était comme ci un fluide chaud, doux et brûlant montait. Son souhait c’était d’arriver jusqu’au débordement même si elle devait en perdre le souffle.

De temps en temps Julien face à cette danse et ces vagues qu’opérait le corps et le ventre de julia, gratifiai ce dernier de doux baiser et attardait sa langue sur les tétons de notre sulfureuse Julia.

Julia, ne savait plus où se donner la tête, tout son corps dansait, jubilait à l’image d’un coq qu’on venait d’égorger mais qui avait du mal à mourir.

Au bord de l’assouvissement, ses yeux étaient à semi-ouverts. Prenant conscience que la posture dans laquelle elle était, pouvait faire honte à un singe et, ne voulant surtout pas que Julien ne se doute de quelque chose pour s’arrêter en si bon chemin, elle couvrit son visage de ses mains.

Peu de temps après, elle donna son dernier souffle.

Elle en avait eu pour son compte.

La danse cessa.

Les vagues cessèrent.

A la place des larmes d’un plaisir comblé, d’une femme assouvie  prirent place sur son visage.

Julien le gratifia d’un dernier baisé sur les lèvres puis….




 tout devint flou….








-Julien: Allo! Miss Julia? Ça va?
**Julia ouvrit les yeux, en face d’elle Julien accroupi. Elle se leva aussitôt furieuse, toute en sueur, le visage rempli de regret et de honte et cria: “Ne me touchez pas


                         A suivre…

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