mardi 22 mars 2016

Terrible Amour (4ème partie)

Permettez que je place quelques mots avant la suite de l'histoire.
Merci pour vos apports, commentaires et critiques. J’aimerais toutefois réagir par rapport au caractère simplet de ma plume que la plupart des critiques ont soulevé. A ces critiques je réitère ma promesse de m'améliorer sans pour autant leur promettre un miracle.
Je n’écris pas juste pour  l'élite minoritaire. Mon but c'est que même le petit  de CP puisse me comprendre et se retrouver dans un autre univers sans trop de problèmes. Je vois comment les fidèles à un moment paraissent ennuyer devant l'homélie en français "non facile" de l'archevêque, du curé ou encore de tout prêtre qui veut bien jouer la fine bouche. Je vois aussi comment les fidèles sont emballés quand ces derniers s'y prennent de la plus simple des manières. La preuve la  plus flagrante, nous la retrouvons dans les "petites églises" de notre temps, si je peux me permettre de les appeler ainsi. Les pasteurs, pour se faire comprendre n'y vont pas par quatre chemins et ils ont bien du succès. Non pas que je suis contre cet aspect de la chose ou que j'essaie de défendre mes écrits contre vents et marées. Je voudrais seulement faire comprendre ma vision.

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Après quelques secondes, les rires cessèrent. Ma voisine se mit à pleurer, le bel homme fantôme s'approcha d'elle pour la consoler.
À ce moment, il sonnait déjà 8h et quelques. Le père curé, s’inquiétant de mon absence au rendez-vous vint s'enquérir de mes nouvelles.
Ma voisine se mit à parler
-Miss KArolina, le jeune homme que voici n'est pas un fantôme...C'est mon neveux. Lui et celui qui est sûr le "faire part" sont des frères jumeaux. Guy et Guillaume. Guillaume est malheureusement mort suite à un tragique accident.
Et, au père curé de dire
-Tout se comprend maintenant
-Le bel homme: le jour  où on s'est croisé au portail, je venais rendre visite à ma tante, mais quand je vous ai vu...
En fait comme je vous l'ai dit, je travaille à la caisse .Depuis que je suis à ce poste, je vous vois souvent passer. Mais jamais, je n'ai eu ni le temps ni le courage de vous aborder. En vous voyant sortir de la maison le jour là, je me suis dit que c'était le bon moment. Je n'ai malheureusement pas eu la chance de bien vous parler, un pressentiment me traversa l'esprit et me cloua le bec aussitôt. Cela devait venir de ce lien qui lie les jumeaux. Mon frère, c’était le collègue que je devais voir quand nous nous sommes séparés le jour là...Mais hélas...
*Je me sentis tellement honteuse pour tout ce que j'avais fait et pensé jusque là.
Mon bel homme ou plutôt Guy me redressa et me ramena contre lui en me serrant fort.
*Le lundi au boulot
-Salut Tina, alors le weekend?
-C'était formidable, désolé je n’ai même pas eu le temps de penser à toi...Jacob c'est un amour.
-Je vois, pour cela tu oublies ta meilleure amie...Si j'étais morte?
-Oh! Karolina, on ne rigole pas avec ces genres de choses.
-Okay..Mais ce n’est pas gentille...tu m'amènes à une fête et puis tu me laisses dans les bras d'un inconnu masqué
-Tu étais plutôt consentante et puis c'est toi qui es partie sans me prévenir.
-Hmm..Tina, tu veux toujours avoir raison
-Ne dis pas ça! Mais dis pourquoi t'es si contente? Le prince du bal t’a apparemment bien charmé
-Si tu savais? Mais je te raconterai après, le boulot m'appelle.
-Tu me raconteras tout dans les moindres détails, sinon ...tu me connais, je ne vais pas te lâcher.
-T'inquiètes
*Avant que je ne la quitte ,elle m'interpella et ceci avec l'air de celle qui allait m'annoncer la nouvelle du siècle
-Au fait, karolina...ton.bel homme, il est peut être en vie parce que tiens toi bien…il est jumeau
*Pour ne pas satisfaire son ego de rapporteuse hors paires, je lui répondis tout sec
-Oui, je sais.
*Entre nous ,j'ai bien aimé laisser Tina toute surprise. Elle veut toujours être celle qui détient les meilleurs ragots (Rire)
                                                                                   À suivre


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