Bonjour chers lecteurs et lectrices.
« La plupart de nos erreurs, nous les faisons par amour… »
Est-ce que cette affirmation est juste ?
Je la laisse à votre réflexion, en espérant que vous nous enverrez
dans les jours à venir votre point de vue sur cette affirmation J
Recevez la suite
-Crédo : Personne d’autre n’a de câble à me
passer ? Je vous en payerai un autre de retour
*D’une voix calme mais emprunt d’autorité, Julia demanda…
-Julia : Il nous reste encore combien de chemin ?
-Célia : Nous sommes presque arrivés, 5000m c’est trop
dire
-Julia : Célia, demande à un agent de rester près de la
voiture de M. Crédo, nous avons perdu bien assez de temps comme ça
* Quand, Julia agissait ainsi en sa qualité de chef
d’équipe, Crédo n’avait plus son mot à dire sinon qu’exécuter
-Julia : Crédo, on y va
*Crédo monta dans la voiture sans broncher, mais tout juste après que la voiture ait démarré, il se mit à broncher
-Crédo : C’est l’état des routes la cause de mon
malheur, de toutes les façons la boite va me payer les frais de réparation
sinon je demanderai à mon père de couper ses subventions
-Julia : M. Crédo s’il vous plait un peu de
professionnalisme et arrêtez de vous plaindre. Nous aurions pu prendre la
voiture de service mais vous avez refusé. La boite ne vous payera rien et j’y
veillerai personnellement. Comprenez que le fait d’être le fils de M.
Flamboyant ne vous donne pas tous les droits.
-Célia : Nous sommes arrivés
-Julia : Enfin ! Ce n’est pas trop tôt
*Au moment de descendre de la voiture
-Crédo : Miss Julia, une minute s’il vous plait
-Julia : Je n’ai pas le temps à consacrer vos
enfantillages M. Crédo
-Crédo : Laissez- nous Célia ! Désolé pour tout à
l’heure
-Julia : (Rire moqueur) C’est si facile d’être
désolé. C’est bien pour ces caprices que moi Julia De Fanti je ne me mettrai jamais avec toi
- Crédo : Vraiment désolé, je me suis emporté et puis
la voiture elle m’a coûté une fortune
-Julia : Bon, on en reparle après. Nous avons un
village à visiter.
*A peine descendue de la voiture, qu’une vieille femme
marcha à sa rencontre. Quand cette dernière fut en face de Julia, elle la serra
dans les bras, un peu comme si Julia était une vieille connaissance qu’elle n’a
pas revu depuis très longtemps.
Julia avait perdu pendant les quelques secondes que dura
l’étreinte toute capacité de bouger.
Les autres membres de l’équipe voyant cela accoururent pour
séparer la vieille de leu chef. Dans le feu de l’action la vieille tomba à
terre
-La vieille : Ma fille ! Contente je suis de te
voir enfin. Mais tu n’aurais pas du venir ici. J’ai tout fait pour que tu ne
viennes, mais ton frère a eu le dernier mot. Ne te sépare plus de l’amulette.Courage ma fille, je suis avec toi.
*Après ces mots, elle longea le mur d’une vieille case
située juste à l‘entrée du village puis rentra dans un corner
-Crédo : Mais poursuivez-là !
*Cette poursuite fut vaine car la vieille femme avait
disparu
-Crédo : Célia, n’aviez-vous pas dit qu’il n’y a plus
une seule mouche dans ce village ?
-Célia : Monsieur, je suis tout autant surpris que vous
*Pendant tout ce temps, Julia était restée debout, figée
comme une statuette. Elle avait comme perdu sa langue et son regard était vide.
-Célia : Miss Julia ! Ça va ?
*Sans répondre, elle se dirigea vers le seul grand arbre
dudit village.
Plus elle s’approchait de l’arbre, plus une lumière rouge
luisait davantage de l’arbre
*Les autres membres de l’équipe inquiets la suivirent
Devant l’arbre, la lumière devint très forte. Cette
dernière, jusque là séparée en deux, s’unifia. Cette union donna une lumière
encore plus forte. Suite à cette scène Julia s’écroula
-Crédo : Emmenez là à la voiture
-Crédo : Edgard, tu as tout filmé j’espère…
-Edgard : Je n’ai rien raté
*Les agents eux aussi toujours pas remis de la scène ne
s’exécutèrent pas, ce qui poussa Crédo à lui même porter Julia en lançant de
vilains mots aux autres membres de l’équipe, fallait le voir, il était tout
rouge.
**Peu de temps après, Julia reprit ses esprits
-Célia : Miss Julia, prenez un peu d’eau
-Julia : Merci ! Où est passé Crédo
-Célia : Il prend des photos
-Julia : Dites-moi, c’est quoi cette lumière
rouge ?
-Célia : Miss Julia, je n’en ai aucune idée. Elle
n’était pas là lors de notre première visite. A la place il y avait un vieux
fétiche rempli de toiles d’araignée.
-Julia : S’il vous plait appelé le reste de l’équipe.
Nous rentrons !
-Célia : C’est entendu, nous avons presque fini.
*Julia, resta près de la voiture, à l’entrée du village. Une pancarte attira
son attention. Cette dernière était recouverte de lianes empêchant de lire
l’inscription. Curieuse qu’elle était, Julia fit de son possible pour
déchiffrer ce qui y était écrit. A voir la forme de la pancarte, c’était sans
aucun doute le nom du village qui devait s’y figurer.
Jusqu’au fond du village, tous les membres de l’équipe
purent percevoir le grand cri de Julia…
*Julia avait les deux mains à la tête, une façon de montrer
qu’elle était foutue.
Sur la pancarte, était écrit le nom du village... le nom de son village paternel... le nom du
village de Guy... le nom du village que Karolina
lui avait fait promettre de ne jamais y mettre les pieds…
Sur la pancarte, on pouvait lire l’inscription :
« ATIDEKAVEKOPE »
Que va-t-il arriver à Julia, quel triste sort lui ait réservé, vous le saurez le mardi prochain…
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